Cette année pour notre fête, nous avons choisi d'assister au spectacle équestre «Noces de crin» de Bartabas à la Grande Halle de La Villette à Paris XIXe le dimanche 23 juin 2024 à 17h.
Voici le descriptif du spectacle:
« Bartabas mettra en scène, pour la première fois, le Cadre noir de Saumur et l’Académie Équestre de Versailles, dans un ballet équestre mêlant rectitude et volutes, masculin et féminin. Dans la continuité de ses grandes chorégraphies équestres, Bartabas mettra à l’honneur l’équitation de tradition française pour une rencontre inédite de la culture (l’Académie Équestre de Versailles) et du sport (le Cadre noir).Ces deux institutions d’excellence présenteront leurs spécificités dans une suite de tableaux (sauteurs montés, escrime à cheval, carrousel, longues rênes…) chorégraphiés sur des musiques d’Arandel, récréations autour de l’œuvre de Bach. Dans la Grande Halle de la Villette, la chorégraphie de Bartabas réunira vingt-cinq cavalières ou cavaliers et une quarantaine de chevaux pour un spectacle conjuguant tradition et modernité, rigueur et émotion. »
Nous nous sommes ensuite retrouvés à la petite Halle, tout à côté, pour échanger autour d’un apéritif assorti de planchas et de pizzas. Ci-dessous un petit reportage photographique!
Les 70 participants ont eu semble-t-il beaucoup de plaisir à participer à cette nouvelle formule. Alors, rendez-vous l'an prochain pour les 30 ans de l'association, surprise on ne sait pas encore ce qu'on vous réserve!
Comme le savent les anciens et comme le découvrent nos nouveaux adhérents, nous organisons chaque fin d’année la fête de notre association.
Cette année, le conseil d'administration a souhaité reprendre le déplacement que nous devions faire en 2020 et qui avait été annulé.
La date a été fixée au dimanche 25 juin 2023 : nous sommes allés en car vers ce village remarquable, Gerberoy, dans l'Oise. Pendant que les uns ont parcouru les ruelles de Gerberoy et ses roses*, les autres ont visité le jardin des ifs**. Puis nous avons inversé les deux groupes.
« *Rosiers et hortensias égayent les rues et tiennent le haut du pavé dans Gerberoy, grâce au peintre Le Sidaner, qui au début du siècle, incita tous les habitants à planter des fleurs devant leur maison ».
« **Jardin historique de Gerberoy, il est reconnu comme le plus ancien jardin « d’art topiaire » de France et abrite une collection unique d’arbres monumentaux taillés depuis 400 ans ».
Nous nous sommes ensuite retrouvé dans une salle municipale à Hanvoile à 4 km de Gerberoy pour partager les plats et les boissons que nous avions tous apportés, l’association offrant le vin.
Nous étions 34 pour la visite de la cité universitaire internationale et répartis en deux groupes qui n’ont pas visité les mêmes maisons.
Imaginée en 1925 dans le mouvement pacifiste de l’entre-deux-guerres, la Cité internationale universitaire de Paris rassemble et rapproche dans un même lieu des jeunes talents du monde entier. En favorisant le vivre ensemble, les échanges et la compréhension d’un monde riche et complexe, la Cité internationale souhaite contribuer dès le départ à la construction d’un monde de paix.
Pour le premier groupe la visite a commencé, dans la Maison Internationale, par le salon Honnorat, où sont représentés au plafond les 64 blasons d’Université et de villes du Monde, idéal pour les conférences, salons….
Nous avons continué par la visite de la Maison du Brésil, édifié en 1957, par Le Corbusier. Un premier projet fut conçu par l’architecte Lucio Costa, architecte Brésilien, suivi d’un projet d’exécution par Le Corbusier. On y retrouve les caractéristiques Le Corbusier : loggias, polychromie (couleurs du drapeau brésilien sur loggias et intérieurs), plafond oblique ( maison du Directeur). Ensuite, nous passons devant le Pavillon Suisse, œuvre aussi de Le Corbusier dans les années 1930, Cité Radieuse avant l’heure où les grands principes de l’architecte sont déjà à l’œuvre (immeuble sur pilotis avec des fenêtres carrées). Puis nous visitons la Maison du Maroc, d’ou l’architecture extérieure malgré la toiture en tuiles vernissée, ne nous laisse pas présager la beauté de l’architecture intérieure : plafond en marqueterie, patio andalou et portes monumentales tapissés de céramiques colorées et salon marocain avec de grands canapés.
Nous avons terminé nos deux heures de visite par la première maison construite en 1925, la Maison Pierre et Marie Curie.
Le deuxième groupe a pu voir :
- la Fondation Deutsch de la Meurthe qui a été la première à voir le jour à La Cité internationale. Elle est le fruit d’une initiative privée. Issu d’une grande famille de mécènes, Émile Deutsch de la Meurthe a financé avec son épouse, Louise, la construction des sept pavillons de la Fondation. Le mécène a décidé d’emblée de consacrer 10 millions de francs or à ce projet.
Les plans ont été dressés par l’architecte Lucien Bechmann, qui sera l’architecte conseil de la Cité internationale pendant trente ans. Inspiré par les cités-jardins du début du XXe siècle et les collèges anglais d’outre-Manche comme Oxford ou Cambridge, il a adopté un style régionaliste
-La Fondation Rosa Abreu de Grancher a été créée par l’architecte Albert Laprade à l’origine pour loger les étudiants cubains à Paris. Elle a été financée par Pierre Sanchez Abreu et sa sœur Rosalia. Son architecture s’inspire de la cathédrale de La Havane et de quelques particularités de l’architecture cubaine. La Maison de Cuba était considérée comme la plus luxueuse de la Cité internationale parce que chaque chambre disposait d’une salle de bain avec baignoire et qu’une partie du mobilier en bois d’acajou avait été fabriquée dans la capitale cubaine.
-Ancienne Maison de l’Indochine, la Maison des étudiants de l’Asie du Sud-Est voit le jour dans le contexte de la France coloniale du début du XXe siècle. Son financement est dû à un comité d’initiative, composé en majorité d’industriels français installés dans la région. La pause de la première pierre a eu lieu en juillet 1928.
Nous avons fait un tour d’une partie du parc notamment pour voir les nouvelles maisons comme la maison de la francophonie, la maison de la Tunisie ou la maison de la Chine qui se trouvent le long du périphérique, lequel a laissé la maison des Arts et Métiers de l’autre côté du périphérique.
Nous nous sommes régalés de l’histoire de cette cité, de ces architectures très variées, mais aussi de ses jardins qui représentent environ 2/3 de la surface du terrain.
On a fait la fête, aux Multibaladins! C'était ce dimanche 20 juin au Parc de Saint Cloud. Après une "mise en jambes" organisée par Frédérique pour les randonneurs, choristes et randonneurs se sont retrouvés de côté de la ferme du Piqueur, non loin de la gare de Garches-Marnes La Coquette, et tout près des animaux et d'un café solidaire qui nous avait préparé des "goodies" pour le dessert. Et pour couronner le tout, on a même chanté!
Apprécié de tous (nous étions une quarantaine), ce moment de détente nous a donné l'occasion de nous retrouver avant de clore l'année, en espérant que la rentrée prochaine nous permettra de chanter et de randonner en toute sérénité...
Bonnes vacances à tous et on vous dit à la rentrée!
Nous serons présents aux forums des associations d'Asnières le 4 septembre et Courbevoie le 5 septembre.
Nous organisons chaque année une fête de l'association en fin d'année ..
La date prévue était le dimanche 21 juin 2020.
Gerberoy est un village très connu pour ses roses puis en deux groupes le jardin des ifs .
La salle municipale à 4 km de Gerberoy permet de partager un pique-nique.
Allez, espérons que nous pourrons reprogrammer cet événement en juin 2022!
Voici ci dessous un souvenir de la rando matinale qui a précédé notre fête 2019 ... les beaux murs peints de Levallois.
Merci à Annick pour ces belles photos!
Le dimanche 24 juin, 51 d'entre nous se sont retrouvés à la Maison de la Pêche et de la Nature, sur l'île de la Jatte, endroit proche de toutes commodités et entouré de verdure et d'eau.
Un groupe d'adhérents randonneurs, sous la conduite de Jean Michel et Bénédicte, s'était préalablement aiguisé l'appétit avec une petite marche le long de la Seine et dans les jardins suspendus de Courbevoie - La Défense.
Chacun avait apporté de quoi se restaurer en toute convivialité, qui une salade, qui une terrine (suivez mon regard…), qui des fromages, qui un dessert ou des fruits.
L'association quant à elle s'est chargée d'abreuver (modérément) les convives, et nous avions décoré la salle des magnifiques Kakémono et Makémono réalisés par notre graphiste attitrée, Anne.
Une journée paisible et joyeuse, à renouveler dans un an!